historique de Main.Etat
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État
Comment se dispenser d’État?
Réalités (passé et présent)
Sociétés primitives
Selon Pierre Clastres,1 l’absence d’État dans les sociétés primitives n’est pas un archaïsme politique précédant une évolution inéluctable, mais une façon de se prémunir des dangers du pouvoir. Il observe au contraire, dans les sociétés amérindiennes, la totale absence d’autorité du chef.
L’organisation sociale fragile des Nambikwaras, constitués en groupes de petites taille et sujets à de fréquentes recompositions serait un exemple de vie collective dépourvue de structure permanente, de tout embryon d’un état, nous livre Claude Lévi-Strauss. (lire la citation).
Autres exemples de sociétés acéphales : les jivaros2, les Tonga (Zambie)
1 Pierrre Clastres, La société contre l’État, 1974 (↑)
2 Philippe Descola, Les lances du crépuscule : Relations Jivaros, Haute-Amazonie, 1993 (↑)
Expériences politiques
Nées de révoltes d’esclaves, les quilombos refusaient toute forme d’État.
À Copenhague en 1971 s’est constituée la commune libre de Christiania.
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Mythes, théories et fictions
L’état de nature
L’état de nature décrit une humanité initiale, sans État, sans règles, sans contrat social.
Selon Thomas Hobbes1, l’homme, s’il était rendu à cet état, ne serait mû que par ses intérêts individuels et combattrait perpétuellement ses congénères.
John Locke2 pense au contraire, qu’étant donné que l’homme est doué de raison, il ne pourrait nuire à ses semblables. L’état de nature serait donc un état d’égalité et de paix.
Quant à Jean-Jacques Rousseau3, il considère que l’homme naturel est naturellement bon, mais l’ignore. Pour lui comme pour Locke, l’équilibre initial n’est perturbé que par l’existence de la propriété.
1 Léviathan, 1651 (↑)
2 Traité du gouvernement civil, 1690 (↑)
3 Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755, Du contrat social, 1762, Émile, ou De l’éducation, 1762 (↑)
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Contributions libres
Pour décrire ce que serait selon vous une société sans État, cliquez ici.
Bibliographie
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Marc abeles, Anthropologie de l’état, 1990 Pour Christiana, voir le film de Didier Inowlocki:” travailler sans l’ennemi”.
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Pour Christiana, voir le film de Didier Inowlocki:” travailler sans l’ennemi”.
Hier et aujourd’hui
Réalités (passé et présent)
Sociétés primitives
Selon Pierre Clastres,1 l’absence d’État dans les sociétés primitives n’est pas un archaïsme politique précédant une évolution inéluctable, mais une façon de se prémunir des dangers du pouvoir. Il observe au contraire, dans les sociétés amérindiennes, la totale absence d’autorité du chef.
Autres exemples de sociétés acéphales : les jivaros3, les Tonga (Zambie)
1 Pierrre Clastres, La société contre l’État, 1974 (↑)
2 Philippe Descola, Les lances du crépuscule : Relations Jivaros, Haute-Amazonie, 1993 (↑)
3 Philippe Descola, Les lances du crépuscule : Relations Jivaros, Haute-Amazonie, 1993 (↑)
Expériences politiques
Pierre Clastres parle de sociétés contre l’état puisque leur fonctionnement est organisé pour annhiler toute forme de subordination (cf. hiérarchie).
L’expérience autogestionnaire de Christiana au Danemark, depuis 1971.
À Copenhague en 1971 s’est constituée la commune libre de Christiana.
Mythes, théories et fictions
L’état de nature décrit une humanité initiale, sans État, sans règles, sans contrat social. Selon Thomas Hobbes1, l’homme, s’il était rendu à cet état, ne serait mû que par ses intérêts individuels et combattrait perpétuellement ses congénères. John Locke2 pense au contraire, qu’étant donné que l’homme est doué de raison, il ne pourrait nuire à ses semblables. L’état de nature serait donc un état d’égalité et de paix. Quant à Jean-Jacques Rousseau3, il considère que l’homme naturel est naturellement bon, mais l’ignore. Pour lui comme pour Locke, l’équilibre initial n’est perturbé que par l’existence de la propriété.
Mythes, théories et fictions
L’état de nature
L’état de nature décrit une humanité initiale, sans État, sans règles, sans contrat social.
Selon Thomas Hobbes4, l’homme, s’il était rendu à cet état, ne serait mû que par ses intérêts individuels et combattrait perpétuellement ses congénères.
John Locke5 pense au contraire, qu’étant donné que l’homme est doué de raison, il ne pourrait nuire à ses semblables. L’état de nature serait donc un état d’égalité et de paix.
Quant à Jean-Jacques Rousseau6, il considère que l’homme naturel est naturellement bon, mais l’ignore. Pour lui comme pour Locke, l’équilibre initial n’est perturbé que par l’existence de la propriété.
Contributions libres
Contributions libres
Bibliographie
Bibliographie
Pierre Clastres parlent de société contre l’état puisque leur fonctionnement est organise pour annhiler toute forme de subordination ( lien hiérarchie).
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\\Marc abeles:anthropologie de l’état
Nées de révoltes d’esclaves, les quilombos refusaient toute forme d’État.
L’état de nature
L’état de nature est une hypothèse théorique décrivant la situation de l’humanité en l’absence de contrat social, c’est à dire d’État et de règles. Thomas Hobbes7 décrit cet état comme une guerre permanente de tous contre tous, découlant de l’incompatibilité des intérêts individuels. Selon John Locke8, il s’agit d’un état d’égalité et de paix, dans lequel les hommes, doués de raison, ne se nuisent pas et se portent naturellement secours. Pour lui, comme pour Jean-Jacques Rousseau9, cet équilibre n’est compromis que par l’existence de la propriété privée.
L’état de nature décrit une humanité initiale, sans État, sans règles, sans contrat social. Selon Thomas Hobbes10, l’homme, s’il était rendu à cet état, ne serait mû que par ses intérêts individuels et combattrait perpétuellement ses congénères. John Locke11 pense au contraire, qu’étant donné que l’homme est doué de raison, il ne pourrait nuire à ses semblables. L’état de nature serait donc un état d’égalité et de paix. Quant à Jean-Jacques Rousseau12, il considère que l’homme naturel est naturellement bon, mais l’ignore. Pour lui comme pour Locke, l’équilibre initial n’est perturbé que par l’existence de la propriété.
L’état de nature est une hypothèse théorique décrivant la situation de l’humanité en l’absence de contrat social, c’est à dire d’État et de règles. Thomas Hobbes décrit cet état comme une guerre permanente de tous contre tous, découlant de l’incompatibilité des intérêts individuels. Selon John Locke, il s’agit d’un état d’égalité et de paix, dans lequel les hommes, doués de raison, ne se nuisent pas et se portent naturellement secours. Pour lui, comme pour Jean-Jacques Rousseau, cet équilibre n’est compromis que par l’existence de la propriété privée.
L’état de nature est une hypothèse théorique décrivant la situation de l’humanité en l’absence de contrat social, c’est à dire d’État et de règles. Thomas Hobbes13 décrit cet état comme une guerre permanente de tous contre tous, découlant de l’incompatibilité des intérêts individuels. Selon John Locke14, il s’agit d’un état d’égalité et de paix, dans lequel les hommes, doués de raison, ne se nuisent pas et se portent naturellement secours. Pour lui, comme pour Jean-Jacques Rousseau15, cet équilibre n’est compromis que par l’existence de la propriété privée.
1 Léviathan, 1651 (↑)
2 Traité du gouvernement civil, 1690 (↑)
3 Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755, Du contrat social, 1762, Émile, ou De l’éducation, 1762 (↑)
4 Léviathan, 1651 (↑)
5 Traité du gouvernement civil, 1690 (↑)
6 Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755, Du contrat social, 1762, Émile, ou De l’éducation, 1762 (↑)
7 Léviathan, 1651 (↑)
8 Traité du gouvernement civil, 1690 (↑)
9 Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755, Du contrat social, 1762, Émile, ou De l’éducation, 1762 (↑)
10 Léviathan, 1651 (↑)
11 Traité du gouvernement civil, 1690 (↑)
12 Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755, Du contrat social, 1762, Émile, ou De l’éducation, 1762 (↑)
13 Léviathan, 1651 (↑)
14 Traité du gouvernement civil, 1690 (↑)
15 Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755, Du contrat social, 1762, Émile, ou De l’éducation, 1762 (↑)
L’état de nature est une hypothèse théorique décrivant la situation de l’humanité en l’absence de contrat social, c’est à dire d’État et de règles. Thomas Hobbes décrit cet état comme une guerre permanente de tous contre tous, découlant de l’incompatibilité des intérêts individuels. Selon John Locke, il s’agit d’un état d’égalité et de paix, dans lequel les hommes, doués de raison, ne se nuisent pas et se portent naturellement secours. Cet équilibre n’est compromis que par l’existence de la propriété privée.
L’état de nature est une hypothèse théorique décrivant la situation de l’humanité en l’absence de contrat social, c’est à dire d’État et de règles. Thomas Hobbes décrit cet état comme une guerre permanente de tous contre tous, découlant de l’incompatibilité des intérêts individuels. Selon John Locke, il s’agit d’un état d’égalité et de paix, dans lequel les hommes, doués de raison, ne se nuisent pas et se portent naturellement secours. Pour lui, comme pour Jean-Jacques Rousseau, cet équilibre n’est compromis que par l’existence de la propriété privée.
L’état de nature
L’état de nature est une hypothèse théorique décrivant la situation de l’humanité en l’absence de contrat social, c’est à dire d’État et de règles. Thomas Hobbes décrit cet état comme une guerre permanente de tous contre tous, découlant de l’incompatibilité des intérêts individuels. Selon John Locke, il s’agit d’un état d’égalité et de paix, dans lequel les hommes, doués de raison, ne se nuisent pas et se portent naturellement secours. Cet équilibre n’est compromis que par l’existence de la propriété privée.
L’expérience autogestionnaire de Christiana au Danemark, depuis 1971.
Au delà de l’État, se pose la question du pouvoir et de la Hiérarchie.
Autre exemple de société sans chefferie : les jivaros
Autre exemple de société sans chefferie : les jivaros3
1 Philippe Descola, Les lances du crépuscule : Relations Jivaros, Haute-Amazonie, 1993 (↑)
2 Philippe Descola, Les lances du crépuscule : Relations Jivaros, Haute-Amazonie, 1993 (↑)
3 Philippe Descola, Les lances du crépuscule : Relations Jivaros, Haute-Amazonie, 1993 (↑)
Autre exemple de société sans chefferie : les jivaros
L’organisation sociale fragile des Namkiwaras, constitués en groupes de petites taille et sujets à de fréquentes recompositions serait un exemple de vie collective dépourvue de structure permanente, de tout embryon d’un état.
Citations
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Hypothèses
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À quoi ressemblerait une société sans état?\\
Hypothèses
À quoi ressemblerait une société sans état?
À quoi ressemblerait une société sans état?