«Ne travaillez jamais» déclarait en 1953 un graffiti sur un mur parisien. L’apostrophe, parfois attribuée à Guy Debord, fit le bonheur des lettristes…
Page mise à jour le 24 mai 2007 à 03h00
«Ne travaillez jamais» déclarait en 1953 un graffiti sur un mur parisien. L’apostrophe, parfois attribuée à Guy Debord, fit le bonheur des lettristes…