historique de Main.EnAttendantGodot
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16 décembre 2007 à 10h50
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- Lignes 1-3 modifiées:
''En attendant Godot'' est une pièce de théâtre écrite en 1948 par Samuel Beckett. Elle est publiée en 1952, et montée pour la première fois en 1953.
en:
!!! En attendant Godot
Écrite en 1948 par Samuel Beckett, la pièce de théâtre ''En attendant Godot'' est publiée en 1952, et montée pour la première fois en 1953.
Écrite en 1948 par Samuel Beckett, la pièce de théâtre ''En attendant Godot'' est publiée en 1952, et montée pour la première fois en 1953.
12 décembre 2007 à 15h36
par
- Lignes 1-2 modifiées:
''En Attendant Godot'' est une pièce de théâtre écrite en 1948 par Samuel Beckett. Elle est publiée en 1952, et montée pour la première fois en 1953.
Cette pièce, qui n'a pas fini de livrer ses secrets, est un paradoxe théâtrale. Ce n'est pas l'action qui est montrée, mais l'inaction. Le temps ne suis pas les règles habituelles: par exemple, pour respecter la règles des trois unités, une pièce doit commencer le matin et se terminer le soir. Dans ''En Attendant Godot'', la pièce commence le soir, se termine sur le soir, le tout dans un sentiment de répétition et de dégradation, comme si le temps ne passait pas, que tous se démultipliait et se détériorait à l'infini.
Cette pièce, qui n'a pas fini de livrer ses secrets, est un paradoxe théâtrale. Ce n'est pas l'action qui est montrée, mais l'inaction. Le temps ne suis pas les règles habituelles: par exemple, pour respecter la règles des trois unités, une pièce doit commencer le matin et se terminer le soir. Dans ''En Attendant Godot'', la pièce commence le soir, se termine sur le soir, le tout dans un sentiment de répétition et de dégradation, comme si le temps ne passait pas, que tous se démultipliait et se détériorait à l'infini.
en:
''En attendant Godot'' est une pièce de théâtre écrite en 1948 par Samuel Beckett. Elle est publiée en 1952, et montée pour la première fois en 1953.
Cette pièce, qui n'a pas fini de livrer ses secrets, est un paradoxe théâtral. Ce n'est pas l'action qui est montrée, mais l'inaction. Le temps ne suit pas les règles habituelles: par exemple, pour respecter la règle des trois unités, une pièce doit commencer le matin et se terminer le soir. Dans ''En attendant Godot'', la pièce commence le soir, se termine sur le soir, le tout dans un sentiment de répétition et de dégradation, comme si le temps ne passait pas, que tous se démultipliait et se détériorait à l'infini.
Cette pièce, qui n'a pas fini de livrer ses secrets, est un paradoxe théâtral. Ce n'est pas l'action qui est montrée, mais l'inaction. Le temps ne suit pas les règles habituelles: par exemple, pour respecter la règle des trois unités, une pièce doit commencer le matin et se terminer le soir. Dans ''En attendant Godot'', la pièce commence le soir, se termine sur le soir, le tout dans un sentiment de répétition et de dégradation, comme si le temps ne passait pas, que tous se démultipliait et se détériorait à l'infini.
12 décembre 2007 à 15h28
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- Lignes 1-2 ajoutées:
''En Attendant Godot'' est une pièce de théâtre écrite en 1948 par Samuel Beckett. Elle est publiée en 1952, et montée pour la première fois en 1953.
Cette pièce, qui n'a pas fini de livrer ses secrets, est un paradoxe théâtrale. Ce n'est pas l'action qui est montrée, mais l'inaction. Le temps ne suis pas les règles habituelles: par exemple, pour respecter la règles des trois unités, une pièce doit commencer le matin et se terminer le soir. Dans ''En Attendant Godot'', la pièce commence le soir, se termine sur le soir, le tout dans un sentiment de répétition et de dégradation, comme si le temps ne passait pas, que tous se démultipliait et se détériorait à l'infini.
Cette pièce, qui n'a pas fini de livrer ses secrets, est un paradoxe théâtrale. Ce n'est pas l'action qui est montrée, mais l'inaction. Le temps ne suis pas les règles habituelles: par exemple, pour respecter la règles des trois unités, une pièce doit commencer le matin et se terminer le soir. Dans ''En Attendant Godot'', la pièce commence le soir, se termine sur le soir, le tout dans un sentiment de répétition et de dégradation, comme si le temps ne passait pas, que tous se démultipliait et se détériorait à l'infini.
Page mise à jour le 16 décembre 2007 à 10h50