historique de Main.MichelMourre
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Dieu ne peut être aboli puisqu’il n’existe pas (c’est pourquoi aucun article d’abolitions.net ne lui est consacré). Il nous semble cependant que la performance du lettriste Michel Mourre mérite d’être racontée.
Le 9 avril 1950, accompagné de trois complices, il s’introduisit, déguisé en dominicain, dans Notre-Dame de Paris, tandis que la messe de Pâques battait son plein. Il monta alors subrepticement en chaire et déclara à la foule que Dieu était mort.
Dieu ne peut être aboli puisqu’il n’existe pas.1 Le lettriste Michel Mourre s’est toutefois introduit, le 9 avril 1950, dans Notre-Dame de Paris, déguisé en dominicain. Accompagné de trois complices, il fit cette incursion alors que la messe de Pâques battait son plein. Profitant d’une pause après le credo, Il monta soudainement en chaire et déclara à la foule que Dieu était mort.
Le 9 avril 1950, accompagné de trois complices, il s’introduisit, déguisé en dominicain, dans Notre-Dame de Paris, tandis que la messe de Pâques battait son plein. Il monta alors subrepticement en chaire et déclara à la foule que Dieu était mort.
Le 9 avril 1950, accompagné de trois complices, il s’introduisit, déguisé en dominicain, dans Notre-Dame de Paris, tandis que la messe de Pâques battait son plein. Il monta alors subrepticement en chaire et déclara à la foule que Dieu était mort.
Michel Mourre
Dieu ne peut être aboli puisqu’il n’existe pas (c’est pourquoi aucun article d’abolitions.net ne lui est consacré). Il nous semble cependant que la performance du lettriste Michel Mourre mérite d’être racontée.
Le 9 avril 1950, accompagné de trois complices, il s’introduisit, déguisé en dominicain, dans Notre-Dame de Paris, tandis que la messe de Pâques battait son plein. Il monta alors subrepticement en chaire et déclara à la foule que Dieu était mort.
Le scandale fut immense. Condamné par l’ensemble de la classe politique, cet acte ne fut guère approuvé que par les surréalistes.2
1 C’est pourquoi il n’y a pas d’article «Dieu» dans abolitions.net (↑)
2 Greil Marcus, Lipstick Traces, 1989 (↑)