historique de Main.CitationTristetropic1
cacher les modifications mineures - Affichage de la sortie
29 juin 2012 à 20h03
par
- Lignes 1-3 modifiées:
http://www.artfans.info/portfolio/ generic prozac - cheap prozac online
en:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, (à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. » \\
Claude Lévi-Strauss, ''Tristes tropiques'', Plon, 1955, p. 333.\\
\\
Claude Lévi-Strauss, ''Tristes tropiques'', Plon, 1955, p. 333.\\
\\
14 juin 2012 à 19h58
par
- ZHlnOavgcvvZVBAQZuLigne 1 modifiée:
http://www.ariadacapo.net/book/ seroquel cheap - seroquel buy
en:
http://www.artfans.info/portfolio/ generic prozac - cheap prozac online
14 juin 2012 à 02h34
par
- SXeeXwcJIjhImOjdMmLigne 1 modifiée:
http://www.overloadpoetry.org/about/ viagra cheap - viagra online
en:
http://www.ariadacapo.net/book/ seroquel cheap - seroquel buy
20 mai 2012 à 22h13
par
- DRxGdeDhLFplLigne 1 modifiée:
http://www.cecenter.org/about/ buy cheap levitra - buy levitra online no prescription
en:
http://www.overloadpoetry.org/about/ viagra cheap - viagra online
18 mai 2012 à 10h20
par
- ifgSGqZypgnIHXLigne 1 modifiée:
http://www.king-cat.net/history.html cialis buy - cialis cheap
en:
http://www.cecenter.org/about/ buy cheap levitra - buy levitra online no prescription
18 mai 2012 à 02h19
par
- TbHvFOrCnqLigne 1 modifiée:
http://hikenj.net/parks/ viagra buy - cheap viagra online
en:
http://www.king-cat.net/history.html cialis buy - cialis cheap
17 mai 2012 à 18h10
par
- fQeupmSWdNrLigne 1 modifiée:
http://www.aarontang.net/design/ buy tramadol - buy tramadol online
en:
http://hikenj.net/parks/ viagra buy - cheap viagra online
10 mai 2012 à 22h26
par
- uhyVWQYTzPKgZKVKPLigne 1 modifiée:
http://independenceamerica.com/politics/ generic viagra online - viagra
en:
http://www.aarontang.net/design/ buy tramadol - buy tramadol online
08 mai 2012 à 05h47
par
- vkMChuIbktioETLignes 1-3 modifiées:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, (à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. » \\
Claude Lévi-Strauss, ''Tristes tropiques'', Plon, 1955, p. 333.\\
\\
Claude Lévi-Strauss, ''Tristes tropiques'', Plon, 1955, p. 333.\\
\\
en:
http://independenceamerica.com/politics/ generic viagra online - viagra
23 novembre 2007 à 22h12
par
- Ligne 3 ajoutée:
\\
23 novembre 2007 à 22h12
par
- Ligne 2 modifiée:
Claude Lévi-Strauss, ''Tristes tropiques'', Plon, 1955, p. 333.
en:
Claude Lévi-Strauss, ''Tristes tropiques'', Plon, 1955, p. 333.\\
23 novembre 2007 à 12h22
par
- Ligne 1 modifiée:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, (à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. »
en:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, (à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. » \\
23 novembre 2007 à 12h22
par
- Ligne 1 modifiée:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. »
en:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, (à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. »
23 novembre 2007 à 09h43
par
- Ligne 2 modifiée:
Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955, p. 333.
en:
Claude Lévi-Strauss, ''Tristes tropiques'', Plon, 1955, p. 333.
23 novembre 2007 à 09h42
par
- Ligne 1 modifiée:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. » \\
en:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. »
23 novembre 2007 à 09h41
par
- Lignes 1-2 modifiées:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. » \\ Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955, p. 333.
en:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. » \\
Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955, p. 333.
Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955, p. 333.
23 novembre 2007 à 08h51
par
- Ligne 1 modifiée:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. »\\ Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955, p. 333.
en:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. » \\ Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955, p. 333.
23 novembre 2007 à 08h49
par
- Ligne 1 modifiée:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. »
en:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. Parfois ils confectionnent des objets de paille enroulée ou tressée, mais ils ne connaissent d'autre distraction que les luttes ou les tours qu'ils se font mutuellement, et mènent une existence calquée sur celle des adultes. Les fillettes apprennent à filer, traînent, rient et dorment; les garçonnets commencent plus tard à tirer avec de petits arcs et à s'initier aux travaux masculins, ( à huit ou dix ans). Mais les uns et les autres prennent très rapidement conscience du problème fondamental et parfois tragique de la vie nambikwara, celui de la nourriture, et du rôle actif qu'on attend d'eux. Ils collaborent aux expéditions de cueillette et de ramassage avec beaucoup d'enthousiasme. En période de disette il n'est pas rare de les voir chercher leur nourriture autour du campement, s'exerçant à déterrer des racines, ou marchant dans l'herbe sur la pointe des pieds, un grand rameau effeuillé à la main, pour assommer des sauterelles. Les fillettes savent quelle part est dévolue aux femmes dans la vie économique de la tribu, et sont impatientes de s'en rendre dignes. »\\ Claude Lévi-Strauss, Tristes tropiques, Plon, 1955, p. 333.
23 novembre 2007 à 07h58
par
- Ligne 1 ajoutée:
« Les petits Nambikwara ignorent les jeux. »
Page mise à jour le 29 juin 2012 à 20h03