historique de Main.Moso
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(:linebreaks:) Les Mosos
Article à reprendre (sources plus fiables, etc.)
Dans le Sud-Ouest de la Chine, sur les contreforts de l’Himalaya, au bord du lac Lugu, l’ethnie Moso présente des particularités sociales très éloignées des normes occidentales : les femmes sont les piliers d’une société « sans père ni mari », sans mariage ni infidélité, où les liaisons se nouent et se dénouent sans contraintes sociales. Les Chinois le désigne comme «le pays des filles».
Chez les Mosos, la notion de propriété est très marginale, voire absente. La propriété individuelle n’existe pratiquement pas. Surtout, la propriété d’un homme sur une femme et ses enfants est exclue. Toute propriété n’y est que communautaire et familiale et reste la même de générations en générations. La famille, une fois sa subsistance assurée, ne cherche pas à agrandir ou embellir son patrimoine au détriment d’autres familles. La propriété communautaire n’est pas source de conflit dans un village car les productions sont réparties au prorata des contributions de chacun.
La notion de possession est si radicalement exclue des valeurs de la culture de ce peuple que la jalousie est un sentiment méprisé, motif de honte.
Références
Yang Erche Namu, Adieu au lac Mère, Calmann-Levy, 2005, récit d’enfance.
Un monde sans père ni mari, film documentaire d’Eric Blavier et Thomas Lavachery, 2000.
http://www.wikipedia.org/ wikipedia
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(:linebreaks:) Les Mosos
Article à reprendre (sources plus fiables, etc.)
Dans le Sud-Ouest de la Chine, sur les contreforts de l’Himalaya, au bord du lac Lugu, l’ethnie Moso présente des particularités sociales très éloignées des normes occidentales : les femmes sont les piliers d’une société « sans père ni mari », sans mariage ni infidélité, où les liaisons se nouent et se dénouent sans contraintes sociales. Les Chinois le désigne comme «le pays des filles».
Chez les Mosos, la notion de propriété est très marginale, voire absente. La propriété individuelle n’existe pratiquement pas. Surtout, la propriété d’un homme sur une femme et ses enfants est exclue. Toute propriété n’y est que communautaire et familiale et reste la même de générations en générations. La famille, une fois sa subsistance assurée, ne cherche pas à agrandir ou embellir son patrimoine au détriment d’autres familles. La propriété communautaire n’est pas source de conflit dans un village car les productions sont réparties au prorata des contributions de chacun.
La notion de possession est si radicalement exclue des valeurs de la culture de ce peuple que la jalousie est un sentiment méprisé, motif de honte.
Références
Yang Erche Namu, Adieu au lac Mère, Calmann-Levy, 2005, récit d’enfance.
Un monde sans père ni mari, film documentaire d’Eric Blavier et Thomas Lavachery, 2000.
http://www.wikipedia.org/ wikipedia
Références:
Références
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Dans le Sud-Ouest de la Chine, sur les contreforts de l’Himalaya, au bord du lac Lugu, l’ethnie Moso présente des particularités sociales très éloignées des normes occidentales : les femmes sont les piliers d’une société « sans père ni mari », sans mariage ni infidélité, où les liaisons se nouent et se dénouent sans contraintes sociales. Les Chinois le désigne comme “ le pays des filles “.
Article à reprendre (sources plus fiables, etc.)
Dans le Sud-Ouest de la Chine, sur les contreforts de l’Himalaya, au bord du lac Lugu, l’ethnie Moso présente des particularités sociales très éloignées des normes occidentales : les femmes sont les piliers d’une société « sans père ni mari », sans mariage ni infidélité, où les liaisons se nouent et se dénouent sans contraintes sociales. Les Chinois le désigne comme «le pays des filles».
Adieu au lac Mère, de Yang Erche Namu, éd. CALMANN-LEVY La star chinoise Yang Erche Namu raconte dans cet ouvrage son enfance parmi les Mosos.
“ Un monde sans père ni mari”, film documentaire d’Eric Blavier et Thomas Lavachery, ( 2000 - 52 minutes ).
www.fileane.com, un site web qui a l’ambition de participer à la sortie de nos systèmes de pouvoirs politiques, économiques, religieux.
Yang Erche Namu, Adieu au lac Mère, Calmann-Levy, 2005, récit d’enfance.
Un monde sans père ni mari, film documentaire d’Eric Blavier et Thomas Lavachery, 2000.
Le peuple Moso
Les Mosos
www.fileane.com, un site web qui a l’ambition de participer à la sortie de nos systèmes de pouvoirs politiques, économiques, religieux.
Le peuple Moso
Dans le Sud-Ouest de la Chine, sur les contreforts de l’Himalaya, au bord du lac Lugu, l’ethnie Moso présente des particularités sociales très éloignées des normes occidentales : les femmes sont les piliers d’une société « sans père ni mari », sans mariage ni infidélité, où les liaisons se nouent et se dénouent sans contraintes sociales. Les Chinois le désigne comme “ le pays des filles “.
Chez les Mosos, la notion de propriété est très marginale, voire absente. La propriété individuelle n’existe pratiquement pas. Surtout, la propriété d’un homme sur une femme et ses enfants est exclue. Toute propriété n’y est que communautaire et familiale et reste la même de générations en générations. La famille, une fois sa subsistance assurée, ne cherche pas à agrandir ou embellir son patrimoine au détriment d’autres familles. La propriété communautaire n’est pas source de conflit dans un village car les productions sont réparties au prorata des contributions de chacun.
La notion de possession est si radicalement exclue des valeurs de la culture de ce peuple que la jalousie est un sentiment méprisé, motif de honte.
Références:
Adieu au lac Mère, de Yang Erche Namu, éd. CALMANN-LEVY La star chinoise Yang Erche Namu raconte dans cet ouvrage son enfance parmi les Mosos.
“ Un monde sans père ni mari”, film documentaire d’Eric Blavier et Thomas Lavachery, ( 2000 - 52 minutes ).