historique de Main.Hierarchie
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Hiérarchie
À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
À l’échelle d’une nation, l’absence de hiérarchie concerne l’absence d’État.
Réalités (passé et présent)
Sociétés non occidentales
Dans la plupart des sociétés amérindiennes ce n’est pas la coercition mais le consensus qui fait loi.
Dans la société traditionnelle inuit, l’autorité n’est déléguée que temporairement.
Communautés anti-hiérarchiques
Les adamites, tout comme de nombreux mouvements millénaristes, refusaient toute hiérarchie.
Nées de révoltes d’esclaves au XVIe siècle, les quilombos brésiliens étaient résolument antiautoritaires.
La rotation des chefs est un motif récurent dans les organisations antiautoritaires. Certaines communautés de pirates l’auraient pratiqué.
Expériences autogestionnaires
Théorisée par Pierre Joseph Proudhon et des penseurs anarchistes ou libéraux, l’autogestion a été expérimentée à de nombreuses reprises depuis le XIXe siècle : la commune de Paris, l’Espagne republicaine, la Yougoslavie de Tito, les kibboutz en Israël, etc.
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences comme celles de LIP, certaines entreprises françaises ont adopté un fonctionnement relevant de l’autogestion. Fondée sur le consensus, la redistribution des tâches ou la propriété collective, leur organisation prend de nombreuses formes.
En 1995, la mine Tower au pays de galles fut rachetée par ses mineurs grâce à leurs indemnités de licenciements.1
1 voir le film Charbons ardents de Jean michel Carré (2000) (↑)
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Mythes, théories et fictions
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Contributions libres
Pour décrire ce que serait selon vous un monde sans hiérarchie, cliquez ici.
Bibliographie
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Hiérarchie
À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
À l’échelle d’une nation, l’absence de hiérarchie concerne l’absence d’État.
Réalités (passé et présent)
Sociétés non occidentales
Dans la plupart des sociétés amérindiennes ce n’est pas la coercition mais le consensus qui fait loi.
Dans la société traditionnelle inuit, l’autorité n’est déléguée que temporairement.
Communautés anti-hiérarchiques
Les adamites, tout comme de nombreux mouvements millénaristes, refusaient toute hiérarchie.
Nées de révoltes d’esclaves au XVIe siècle, les quilombos brésiliens étaient résolument antiautoritaires.
La rotation des chefs est un motif récurent dans les organisations antiautoritaires. Certaines communautés de pirates l’auraient pratiqué.
Expériences autogestionnaires
Théorisée par Pierre Joseph Proudhon et des penseurs anarchistes ou libéraux, l’autogestion a été expérimentée à de nombreuses reprises depuis le XIXe siècle : la commune de Paris, l’Espagne republicaine, la Yougoslavie de Tito, les kibboutz en Israël, etc.
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences comme celles de LIP, certaines entreprises françaises ont adopté un fonctionnement relevant de l’autogestion. Fondée sur le consensus, la redistribution des tâches ou la propriété collective, leur organisation prend de nombreuses formes.
En 1995, la mine Tower au pays de galles fut rachetée par ses mineurs grâce à leurs indemnités de licenciements.1
1 voir le film Charbons ardents de Jean michel Carré (2000) (↑)
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Mythes, théories et fictions
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Contributions libres
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En 1995, la mine Tower au pays de galles fut rachetée par ses mineurs grâce à leurs indemnités de licenciements.
En 1995, la mine Tower au pays de galles fut rachetée par ses mineurs grâce à leurs indemnités de licenciements.1
1 voir le film Charbons ardents de Jean michel Carré (2000) (↑)
Filmographie
Charbons ardents (2000) de Jean michel Carré, au sujet de la mine Tower.
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Charbons ardents de Jean michel Carré (2000), au sujet de la mine Tower.
Charbons ardents (2000) de Jean michel Carré, au sujet de la mine Tower.
\\Pour la mine tower: voir le film de Jean michel Carré: “ Charbons ardents
Filmographie
Charbons ardents de Jean michel Carré (2000), au sujet de la mine Tower.
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\\Pour la mine tower: voir le film de Jean michel Carré: “ Charbons ardents
Dans la plupart des sociétés amérindiennes ce n’est pas la coercition mais le consensus qui fait loi.
Dans la plupart des sociétés amérindiennes ce n’est pas la coercition mais le consensus qui fait loi.
Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi.1
Indiens guayaki du paraguay
Dans la plupart des sociétés amérindiennes ce n’est pas la coercition mais le consensus qui fait loi.
Hier et aujourd’hui
L’Antiquité
Hannah Arendt2 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente. texte à revoir
1 Pierre Clastres, La société contre l’état, 1974 (↑)
2 Hannah Arendt, La crise de la culture, 1972 (↑)
Les sociétés non occidentales
Réalités (passé et présent)
Sociétés non occidentales
Les communautés anti-hiérarchiques
Communautés anti-hiérarchiques
Les expériences autogestionnaires
Expériences autogestionnaires
Mythes, théories et fictions
Mythes, théories et fictions
Contributions libres
Contributions libres
Bibliographie
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Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi1.
Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi.2
1 Pierre Clastres, La société contre l’état, 1974 (↑)
2 Pierre Clastres, La société contre l’état, 1974 (↑)
Les adamites refusaient toute hiérarchie.
Les adamites, tout comme de nombreux mouvements millénaristes, refusaient toute hiérarchie.
La rotation des chefs est un motif récurent dans les organisations antiautoritaires. Certaines communautés de [pirates] l’auraient pratiqué.
La rotation des chefs est un motif récurent dans les organisations antiautoritaires. Certaines communautés de pirates l’auraient pratiqué.
La rotation des chefs est un motif récurent dans les organisations antiautoritaires. Certaines communautés de [pirates] l’auraient pratiqué.
Nées de révoltes d’esclaves, les quilombos étaient résolument antiautoritaires.
Nées de révoltes d’esclaves au XVIe siècle, les quilombos brésiliens étaient résolument antiautoritaires.
Réalités d’hier et d’aujourd’hui
Hier et aujourd’hui
Précédents
Réalités d’hier et d’aujourd’hui
Hypothèses recensées
Mythes, théories et fictions
Hypothèses proposées
Contributions libres
Les communautés utopiques
Les communautés anti-hiérarchiques
Nées de révoltes d’esclaves, les quilombos étaient résolument antiautoritaires.
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\\hannah arendt: La crise de la culture 1972
Pierre clastres: La société contre l’état 1974
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Les adamites
Les adamites refusaient toute hiérarchie.
Citations
«L’autorité déprave, la soumission à l’autorité abaisse.» Bakounine
«Quoi d’étonnant si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ?» Michel Foucault
“Mais si nous suivons les exhortations des conservateurs qui, en ce moment, ont une assez bonne chance d’etre entendues, je suis tout a fait convaincue(…) que nous utiliserons la violence et prétendrons avoir restauré l’autorité” Hannah Arendt
“tout se passe en effet comme si ces sociétés constituaient leur sphere politique en fonction d’une intuition qui leur tiendraient lieu de regle: a savoir que le pouvoir est en son essence coercition(…).Elles ont tres trop pressenti que la transcendance du pouvoir recele un risque mortel” Pierre clastres Pour ajouter une citation, cliquez sur l’onglet «modifier».
Dans la société traditionnelle inuit, l’autorité n’est déléguée que temporairement.
«[Chez les Esquimaux] la crainte de laisser place, si peu que ce soit, au processus inégalitaire, conduit à n’autoriser l’autorité qu’à titre temporaire. L’autorité n’est que déléguée. De peur qu’elle ne se concrétise dans la durée, elle n’est acceptée que dans des opérations précises et courtes.» Jean Malaurie in Ethnologie régionale II, 1972
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Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences comme celles de LIP, certaines entreprises françaises ont adopté un fonctionnement relevant de l’autogestion. Fondées sur le consensus, la redistribution des tâches ou la propriété collective, leur organisation prend de nombreuses formes.
Hannah Arendt1 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Hannah Arendt2 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente. texte à revoir
Dans l’Antiquité
L’Antiquité
Dans les sociétés non occidentales
Les sociétés non occidentales
Dans le monde économique occidental
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences autogestionnairesLIP, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie. Fondées sur le consensus, la redistribution des tâches ou la propriété collective, elles peuvent prendre de nombreuses formes.
On peut citer l’exemple de la mine tower au pays de galles rachetés par ses mineurs avec leurs indemnités de licenciements en 1995.
Les expériences autogestionnaires
Théorisée par Pierre Joseph Proudhon et des penseurs anarchistes ou libéraux, l’autogestion a été expérimentée à de nombreuses reprises depuis le XIXe siècle : la commune de Paris, l’Espagne republicaine, la Yougoslavie de Tito, les kibboutz en Israël, etc.
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences comme celles de LIP, certaines entreprises françaises ont adopté un fonctionnement relevant de l’autogestion. Fondées sur le consensus, la redistribution des tâches ou la propriété collective, leur organisation prend de nombreuses formes.
En 1995, la mine Tower au pays de galles fut rachetée par ses mineurs grâce à leurs indemnités de licenciements.
Au Danemark, la ville de “christiana” subsiste depuis 1971 dans une forme d’autogestion qui va au dela du simple rapport de travail (autogestion politique, administrative).
À l’échelle d’une nation, l’absence de hiérarchie renvoie à l’absence d’État.
À l’échelle d’une nation, l’absence de hiérarchie concerne l’absence d’État.
À l’échelle d’une nation, l’absence de hiérarchie concerne l’absence d’État.
À l’échelle d’une nation, l’absence de hiérarchie renvoie à l’absence d’État.
À l’échelle d’une nation, l’absence de hiérarchie concerne l’absence d’État.
Hannah Arendt[^Hannah Arendt, “La crise de la culture”, 1972] montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Hannah Arendt3 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi[^Pierre Clastres, ‘’La société contre l’état” 1974].
Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi4.
1 Hannah Arendt, La crise de la culture, 1972 (↑)
2 Hannah Arendt, La crise de la culture, 1972 (↑)
3 Hannah Arendt, La crise de la culture, 1972 (↑)
4 Pierre Clastres, La société contre l’état, 1974 (↑)
On peut citer l’exemple de la mine tower au pays de galles rachetés par ses mineurs avec leurs indemnités de licenciements en 1995.Au Danemark, la ville de “christiana” subsiste depuis 1971 dans une forme d’autogestion qui va au dela du simple rapport de travail ( autogestion politique, administrative)
On peut citer l’exemple de la mine tower au pays de galles rachetés par ses mineurs avec leurs indemnités de licenciements en 1995. Au Danemark, la ville de “christiana” subsiste depuis 1971 dans une forme d’autogestion qui va au dela du simple rapport de travail (autogestion politique, administrative).
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences telles que LIP, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie. Fondées sur le consensus, la redistribution des tâches ou la propriété collective, elles peuvent prendre de nombreuses formes.
Hannah Arendt1 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Hannah Arendt[^Hannah Arendt, “La crise de la culture”, 1972] montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi2.
Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi[^Pierre Clastres, ‘’La société contre l’état” 1974].
Au Danemark, la ville de “christiana” subsiste depuis 1971 dans une forme d’autogestion qui va au dela du simple rapport de travail ( autogestion politique, administrative)
\\hannah arendt: La crise de la culture 1972
Pierre clastres: La société contre l’état 1974
Dans la plupart des sociétés amérindiennes le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires, ce n’est pas la coercition mais le consensus qui fait loi1.
Dans la plupart des sociétés amérindiennes, le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. En temps ordinaires, ce n’est donc pas la coercition mais le consensus qui fait loi2.
Pierre Clastres3 décrit que dans la plupart des sociétés amérindiennes la figure du chef est associée aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires, c’est le consensus qui fait loi (et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Dans la plupart des sociétés amérindiennes le chef se doit d’être un faiseur de paix, d’être généreux et d’être un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires, ce n’est pas la coercition mais le consensus qui fait loi4.
Dans le monde occidental
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences telles que LIP, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie. Fondées sur le consensus, la redistribution des tâches ou la propriété collective, elles peuvent prendre de nombreuses formes
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences telles que LIP, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie.
Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et «affective». Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Le patron y est élu par les employés, les tâches pénibles comme les responsabilités y sont partagées et les décisions font l’objet d’un consensus. D’autres, au contraire, partagent avec les entreprises classiques un même but de développement économique, pas les premières? mais misent sur d’autres organisations, en petites unités autonomes. C’est le cas, par exemple, de la compagnie d’assurance CFDP, spécialisée dans la protection juridique. Sur le principe «une personne, une voix», elle se développe sous la forme d’entités locales. Ce sont ses salariés et ses intermédiaires qui détiennent son capital. Les sociétés coopératives de production (SCOP) se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement. De forme privée et d’intérêt public, les sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC) constituent une forme récente d’entreprise coopérative permettant de rassembler des salariés, mais aussi des usagers, des bénévoles, des collectivités territoriales ou tout autre partenaire. Leur particularité : elles s’inscrivent dans une logique de développement durable.
Pierre Clastres5 montre que dans la plupart des sociétés amérindiennes la figure du chef est associée aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires, c’est le consensus qui fait loi (et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Pierre Clastres6 décrit que dans la plupart des sociétés amérindiennes la figure du chef est associée aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires, c’est le consensus qui fait loi (et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
D’autres, au contraire, partagent avec les entreprises classiques un même but de développement économique, mais misent sur d’autres organisations, en petites unités autonomes. C’est le cas, par exemple, de la compagnie d’assurance CFDP, spécialisée dans la protection juridique. Sur le principe «une personne, une voix», elle se développe sous la forme d’entités locales. Ce sont ses salariés et ses intermédiaires qui détiennent son capital. Les sociétés coopératives de production (SCOP). Les SCOP se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement. Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC). De forme privée et d’intérêt public, la Scic est une forme récente d’entreprise coopérative qui permet de rassembler des salariés, mais aussi des usagers, des bénévoles, des collectivités territoriales ou tous autres partenaires. Leur particularité : elles s’inscrivent dans une logique de développement durable.
D’autres, au contraire, partagent avec les entreprises classiques un même but de développement économique, pas les premières? mais misent sur d’autres organisations, en petites unités autonomes. C’est le cas, par exemple, de la compagnie d’assurance CFDP, spécialisée dans la protection juridique. Sur le principe «une personne, une voix», elle se développe sous la forme d’entités locales. Ce sont ses salariés et ses intermédiaires qui détiennent son capital. Les sociétés coopératives de production (SCOP) se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement. De forme privée et d’intérêt public, les sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC) constituent une forme récente d’entreprise coopérative permettant de rassembler des salariés, mais aussi des usagers, des bénévoles, des collectivités territoriales ou tout autre partenaire. Leur particularité : elles s’inscrivent dans une logique de développement durable.
conception de l’autorité chez les grecs et les romains
Entreprises sans hiérarchie dans le monde occidental
Dans le monde occidental
Indiens guayaki du paraguay
Dans l’Antiquité
Développement d’entreprises sans hiérarchie dans le monde occidental
Dans les sociétés non occidentales
Mais l’absence de hiérarchie existe aussi chez nous, notamment dans le domaine économique. Ainsi certaines entreprises, fidèles à l’esprit de mai 68, fonctionnent sans hiérarchie, avec un patron élu par les employés. Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et «affective». Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Les tâches pénibles comme les responsabilités y sont partagées et les décisions font l’objet d’un consensus.
Indiens guayaki du paraguay
Entreprises sans hiérarchie dans le monde occidental
Dans la lignée de Mai 68 et d’expériences telles que LIP, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie.
Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et «affective». Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Le patron y est élu par les employés, les tâches pénibles comme les responsabilités y sont partagées et les décisions font l’objet d’un consensus.
Developement d’entreprises sans hiérarchie dans le monde occidental
Hannah Arendt7 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait meme dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Développement d’entreprises sans hiérarchie dans le monde occidental
Hannah Arendt8 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait même dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Les sociétés coopératives de production (SCOP). Les SCOP se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, Les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement.
Les sociétés coopératives de production (SCOP). Les SCOP se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement.
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Hannah Arendt9 montre que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait meme dire que ce sens premier est perdu). Chez eux, l’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application, mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par là existe sans moyens de coercitions extérieurs. Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Pierre Clastres10 montre que dans la plupart des sociétés amérindiennes la figure du chef est associée aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires, c’est le consensus qui fait loi (et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Mais l’absence de hiérarchie existe aussi chez nous, notamment dans le domaine économique. Ainsi certaines entreprises, fidèles à l’esprit de mai 68, fonctionnent sans hiérarchie, avec un patron élu par les employés. Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et «affective». Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Les tâches pénibles comme les responsabilités y sont partagées et les décisions font l’objet d’un consensus. D’autres, au contraire, partagent avec les entreprises classiques un même but de développement économique, mais misent sur d’autres organisations, en petites unités autonomes. C’est le cas, par exemple, de la compagnie d’assurance CFDP, spécialisée dans la protection juridique. Sur le principe «une personne, une voix», elle se développe sous la forme d’entités locales. Ce sont ses salariés et ses intermédiaires qui détiennent son capital. Les sociétés coopératives de production (SCOP). Les SCOP se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, Les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement. Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC). De forme privée et d’intérêt public, la Scic est une forme récente d’entreprise coopérative qui permet de rassembler des salariés, mais aussi des usagers, des bénévoles, des collectivités territoriales ou tous autres partenaires. Leur particularité : elles s’inscrivent dans une logique de développement durable.
1 Pierre Clastres, Titre, date (↑)
2 Pierre Clastres, Titre, date (↑)
3 Pierre Clastres, Titre, date (↑)
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7 Hannah Arendt, Titre, date (↑)
8 Hannah Arendt, Titre, date (↑)
9 Hannah Arendt, Titre, date (↑)
10 Pierre Clastres, Titre, date (↑)
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Hannah Arendt1 montre bien que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait meme dire que ce sens premier est perdu). L’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par la existe sans moyens de coercitions extérieurs.Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Pierre Clastres2 montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Mais l’absence de hiérarchie existe aussi chez nous,notement dans le domaine économique.Par exemple les entreprises post-68. Fidèles à l’esprit post-soixante-huitard, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie, avec un patron élu par les employés. Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et “affective”. Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Car les tâches pénibles comme les responsabilités sont partagées, et les décisions font l’objet d’un consensus. D’autres, au contraire, partagent avec les entreprises classiques un même but de développement économique, mais misent sur d’autres organisations, en petites unités autonomes. C’est le cas, par exemple, de la compagnie d’assurance CFDP, spécialisée dans la protection juridique. Sur le principe “une personne, une voix”, elle se développe sous la forme d’entités locales. Ce sont ses salariés et ses intermédiaires qui détiennent son capital. Les sociétés coopératives de production (SCOP). Les SCOP se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, Les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement. Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC). De forme privée et d’intérêt public, la Scic est une forme récente d’entreprise coopérative qui permet de rassembler des salariés, mais aussi des usagers, des bénévoles, des collectivités territoriales ou tous autres partenaires. Leur particularité : elles s’inscrivent dans une logique de développement durable.
1 Hannah Arendt, Titre, date (↑)
2 Pierre Clastres, Titre, date (↑)
Pierre Clastres1 montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Pierre Clastres2 montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Hannah arendt montre bien que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains( on pourrait meme dire que ce sens premier est perdu). L’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par la existe sans moyens de coercitions extérieurs.Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence( ou disons par la force)qui est absente.
Pierre clastres montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation ,c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Hannah Arendt3 montre bien que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains (on pourrait meme dire que ce sens premier est perdu). L’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par la existe sans moyens de coercitions extérieurs.Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence (ou disons par la force) qui est absente.
Pierre Clastres4 montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation, c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Pierre clastres montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation ,c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons)
Les entreprises post-68. Fidèles à l’esprit post-soixante-huitard, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie, avec un patron élu par les employés. Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et “affective”. Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Car les tâches pénibles comme les responsabilités sont partagées, et les décisions font l’objet d’un consensus.
Pierre clastres montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation ,c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons).
Mais l’absence de hiérarchie existe aussi chez nous,notement dans le domaine économique.Par exemple les entreprises post-68. Fidèles à l’esprit post-soixante-huitard, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie, avec un patron élu par les employés. Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et “affective”. Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Car les tâches pénibles comme les responsabilités sont partagées, et les décisions font l’objet d’un consensus.
conception de l’autorité chez les grecs et les romains
conception de l’autorité chez les grecs et les romains Developement d’entreprises sans hiérarchie dans le monde occidental
Les entreprises post-68. Fidèles à l’esprit post-soixante-huitard, certaines entreprises fonctionnent sans hiérarchie, avec un patron élu par les employés. Il s’agit, en général, de sociétés expérimentales en terme d’organisation sociale et “affective”. Elles semblent souvent en parfait décalage avec le monde économique par leur absence de hiérarchie, leurs salaires identiques ou leur temps partiel généralisé. Car les tâches pénibles comme les responsabilités sont partagées, et les décisions font l’objet d’un consensus. D’autres, au contraire, partagent avec les entreprises classiques un même but de développement économique, mais misent sur d’autres organisations, en petites unités autonomes. C’est le cas, par exemple, de la compagnie d’assurance CFDP, spécialisée dans la protection juridique. Sur le principe “une personne, une voix”, elle se développe sous la forme d’entités locales. Ce sont ses salariés et ses intermédiaires qui détiennent son capital. Les sociétés coopératives de production (SCOP). Les SCOP se définissent comme des PME appartenant aux salariés. Gérées par un ou des dirigeants élus par les salariés, elles ont le statut de Sarl ou de SA. Dans l’un ou l’autre cas, Les salariés sont associés majoritaires de l’entreprise, dont ils détiennent au moins 51% du capital. Ils participent aux choix stratégiques de l’entreprise et décident du partage des bénéfices. Leurs avantages sont liées à l’exercice de la démocratie collective : décisions communes, cooptation des nouveaux salariés, partage des bénéfices… Leurs inconvénients aussi, car les personnes qui souhaitent s’autogérer n’ont pas toujours les compétences requises. Et les objectifs communs ne coïncident pas toujours avec les capacités de développement. Les sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC). De forme privée et d’intérêt public, la Scic est une forme récente d’entreprise coopérative qui permet de rassembler des salariés, mais aussi des usagers, des bénévoles, des collectivités territoriales ou tous autres partenaires. Leur particularité : elles s’inscrivent dans une logique de développement durable.
Pierre clastres montre bien que dans une grandes majorité des sociétés amérindiennes la figure du chef est associé aux qualités suivantes: c’est un faiseur de paix, la générosité est pour lui est une obligation ,c’est un bon orateur. Ce qui signifie qu’en temps ordinaires c’est le consensus qui fait loi( et non la figure coercitive du chef tel que nous la concevons)
“tout se passe en effet comme si ces sociétés constituaient leur sphere politique en fonction d’une intuition qui leur tiendraient lieu de regle: a savoir que le pouvoir est en son essence coercition(…).Elles ont tres trop pressenti que la transcendance du pouvoir recele un risque mortel” Pierre clastres
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Pour ajouter un exemple de société sans rapport de hiérarchie, cliquez sur l’onglet «modifier». Indiens guayaki du paraguay conception de l’autorité chez les grecs et les romains
Hannah arendt montre bien que la conception de l’autorité propre a l’époque moderne est en quelque sorte une dénaturation du sens originel tel qu’il avait cours chez les grecs et les romains( on pourrait meme dire que ce sens premier est perdu). L’exercice de l’autorité ne repose pas sur une hiérarchie fondée sur la violence dans son application mais sur un consensus qui fait acte de légitimité et qui par la existe sans moyens de coercitions extérieurs.Ce qui implique que la hiérarchie existe non dans le sens tel que nous le concevons aujourd’hui, mais est parfaitement intégré dans une forme de consensus qui surplombent les affaires humaines. C’est ainsi la hiérarchie dans sa fonction d’ordonner par la violence( ou disons par la force)qui est absente.
“Mais si nous suivons les exhortations des conservateurs qui, en ce moment, ont une assez bonne chance d’etre entendues, je suis tout a fait convaincue(…) que nous utiliserons la violence et prétendrons avoir restauré l’autorité” Hannah Arendt
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À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
L’autorité déprave, la soumission à l’autorité abaisse.
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Citations
«[Chez les Esquimaux] la crainte de laisser place, si peu que ce soit, au processus inégalitaire, conduit à n’autoriser l’autorité qu’à titre temporaire. L’autorité n’est que déléguée. De peur qu’elle ne se concrétise dans la durée, elle n’est acceptée que dans des opérations précises et courtes.» Jean Malaurie in Ethnologie régionale II, 1972
«L’autorité déprave, la soumission à l’autorité abaisse.»
Quoi d’étonnant si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ?
«Quoi d’étonnant si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ?»
À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
«[Chez les Esquimaux] la crainte de laisser place, si peu que ce soit, au processus inégalitaire, conduit à n’autoriser l’autorité qu’à titre temporaire. L’autorité n’est que déléguée. De peur qu’elle ne se concrétise dans la durée, elle n’est acceptée que dans des opérations précises et courtes.» Jean Malaurie in Ethnologie régionale II, 1972\\
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Bibliographie
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Hypothèses
Quoi d’étonnant si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ? Michel Foucault
À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
L’autorité déprave, la soumission à l’autorité abaisse. Bakounine
Quoi d’étonnant si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ? Michel Foucault
À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
Quoi d’étonnant si la prison ressemble aux usines, aux écoles, aux casernes, aux hôpitaux, qui tous ressemblent aux prisons ? Michel Foucault
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«[Chez les Esquimaux] la crainte de laisser place, si peu que ce soit, au processus inégalitaire, conduit à n’autoriser l’autorité qu’à titre temporaire. L’autorité n’est que déléguée. De peur qu’elle ne se concrétise dans la durée, elle n’est acceptée que dans des opérations précises et courtes.» Jean Malaurie in Ethnologie régionale II, 1972
Hypothèses
«[Chez les Esquimaux] la crainte de laisser place, si peu que ce soit, au processus inégalitaire, conduit à n’autoriser l’autorité qu’à titre temporaire. L’autorité n’est que déléguée. De peur qu’elle ne se concrétise dans la durée, elle n’est acceptée que dans des opérations précises et courtes.» Jean Malaurie in Ethnologie régionale II, 1972\\
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Hypothèses
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À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
Hiérarchie
À quoi ressemblerait une organisation sociale sans hiérarchie?
«[Chez les Esquimaux] la crainte de laisser place, si peu que ce soit, au processus inégalitaire, conduit à n’autoriser l’autorité qu’à titre temporaire. L’autorité n’est que déléguée. De peur qu’elle ne se concrétise dans la durée, elle n’est acceptée que dans des opérations précises et courtes.» Jean Malaurie in Ethnologie régionale II, 1972